Rétrospection 2025. Partie 2 : Dysfonctions exécutives, Autisme
Série burnout, TDAH, autisme & parcours diagnostic
Hey, c’est Carole. Bienvenue dans On n’est pas des robots 🤖.
Cet article est le deuxième d’une série sur mon année 2025. J’y ferai référence aux articles précédents sans forcément redonner le contexte. Aussi, je vous invite à commencer par ici : Partie 1 - Burnout.
Un grand merci à tous pour votre accueil de cette Partie 1 la semaine dernière. Vos mots m’ont touchée et je suis heureuse que ça nous ait donné l’occasion de reprendre contact.
Avant-propos
Ce qui va suivre est mon parcours. Un parcours que je ne me suis autorisée à suivre pleinement que cette année. Un parcours dont je ne sais pas, en écrivant ces lignes, si je m’autoriserai à le partager.
Car difficile de trouver le ton juste. Et la juste nuance.
Car cela m’expose. Peut me discréditer. Peut être irrévocable.
Car je crains la réaction de mes proches. Et moins proches. La vôtre, peut-être.
Car les répercussions peuvent être très concrètes. Sociales. Professionnelles. Administratives.
Car mes conclusions évolueront, c’est certain. Et je pourrais regretter de m’être exposée sur quelque chose de faux.
Alors je mets quelques précautions qui vont bien : ce récit est un état de mes réflexions à cet instant de ma vie. Il n’est ni vrai ni faux. Il est partiel. Il n’est pas immuable.
Il est un moyen pour moi de clarifier ma pensée et de la partager, au cas où elle résonnerait pour quelqu’un d’autre. De donner une permission (celle que j’aurais aimé avoir ?) de se poser ces questions. D’ouvrir une porte, une fenêtre de dialogue sur des réflexions qu’on garde souvent pour soi.
Atelier Rétrospective 2025
Pour rappel je vous propose de nous retrouver les lundis 8 décembre et 15 décembre entre 18h et 20h pour deux ateliers de rétrospective 2025 et projection 2026.
Un moment de réflexion et de partage, pour clore 2025 proprement et remettre l’essentiel au centre de 2026.
Les ateliers sont menés telle sorte que vous puissiez le suivre en replay comme si vous y étiez en live (même si je vous encourage vivement à assister en direct si vous le pouvez).
A très vite pour ceux qui seront présents !
Pour participer, c’est par ici (inscription avant le lundi 1er décembre) :
La reprise post arrêt : observation
J’ai repris fin janvier.
Projet différent, contexte autrement plus sain.
Bien sûr il y a toujours des tensions et absurdités relationnelles. Mais un vrai sponsorship, des humains qui vont globalement dans la même direction, une équipe projet soudée qui valorise le bon sens, la bonne intelligence, et le respect de chacun.
Un cadre idéal pour resolidifier mes bases après mon crash de fin 2024.
Et surtout une prudence, qui m’invite à observer plus finement que jamais les moments où je bascule dans du trop-plein. Pour agir dès les premiers signaux.
Qu’est-ce qui fait que, malgré tout ce que j’ai construit, déconstruit, compris, ajusté ces dernières années… il y a toujours ce moment où ça déborde et tout bascule ?
Comment détecter ça le plus tôt possible et dévier net la trajectoire ?
On va bien finir par s’en débarrasser de cette croyance que je ne suis pas assez solide pour la violence de ce monde.
Un effort disproportionné par rapport à la tâche demandée
Alors j’ai commencé à capter toutes mes petites appréhensions, insécurités, mes moments d’inconfort - même d’apparence insignifiants - sans en laisser passer un seul. Pour comprendre. Et traiter mon anxiété.
Et il y a un pattern récurrent.
“J’ai peur que ça soit trop”.
Une hypervigilance permanente pour tenter de tout contrôler et éviter que ça déborde.
Alors que FACTUELLEMENT, je SAIS ce n’est pas (toujours) trop. C’est-à-dire qu’en théorie, si je prends du recul, c’est RATIONNELLEMENT possible pour moi de gérer ce que j’i à gérer dans les contraintes imparties.
Alors pourquoi je flippe quand même ?
En continuant à m’observer toujours plus finement, notamment pendant les situations que j’appréhendais, j’ai constaté que si j’avais PEUR que ce soit trop AVANT, c’était souvent parce que… C’ÉTAIT trop PENDANT.
Pas dans la théorie. Dans la pratique. Dans mon ressenti.
Pas dans le sens “c’est surhumain ce qu’on me demande”.
Dans le sens “ce qu’on me demande est standard, mais pour moi c’est trop dur”. Littéralement. Dans ces situations, mon cerveau ne suis pas. Il sature. L’effort que ça lui demande de réaliser la tâche est disproportionné par rapport à la tâche demandée.
Et là vous allez me dire : c’est de la saturation cognitive.
Parce qu’on est tous sur-sollicités. Et c’est vrai. Sauf que j’ai quasi tout filtré : aucune notification nulle part sur aucun de mes devices (même pas les pastilles !), des créneaux dédiés pour avancer sur le fond (en m’isolant physiquement parfois), d’autres pour traiter des mails et interagir, plus de surengagement par prudence...
Ou alors vous allez me dire : c’est de l’anxiété de performance.
Parce qu’on veut tous trop en faire et faire trop bien. Parce qu’on a tous envie de montrer qu’on y arrive. Et oui, parfois, c’est ça qui se joue : je suis anxieuse parce que j’ai peur de ne pas y arriver donc de passer pour une brèle.
Mais ça m’arrive de moins en moins.
Et dans certaines situations, cette hypothèse n’a aucun sens.
Quand la question c’est “quand est-ce que tu as 30 minutes pour un café ?”.
Quand je dois projeter mon écran en réunion sans connaitre le système.
Quand je dois faire une valise pour partir en week-end.
Quand je prends les transports aux heures de pointe.
Quand on me décale une réunion en last minute.
Quand tout le monde parle en même temps.
…
Là il n’y a aucune raison que je n’y arrive pas, ni aucun enjeu de performance. Je veux dire, il n’y a aucune raison que je n’arrive pas à planifier un café avec quelqu’un. Et si je n’y arrive pas, then what?
C’est l’œuf qui fait la poule ou c’est la poule qui fait l’œuf ?
Donc on en arrive à LA question que je ne m’étais jamais posée et qui a changé le cours de mon année :
Est-ce que je suis anxieuse DONC je sature ? - Ce que je pensais depuis toujours.
Ou nouvelle hypothèse : Est-ce que je sature DONC je suis anxieuse ?
Et plus je m’observe, moins cette hypothèse me parait absurde.
Sans avoir d’explication encore, c’est évident que la majorité des situations qui me stressent, qui me fatiguent, que je redoute, sont des situations où la quantité d’informations - qu’elles soient externes ou internes, qu’elles soient sensorielles, cognitives, émotionnelles, sociales - est supérieure à ma capacité à les traiter.
Et c’est le cas depuis aussi loin que je me souvienne (genre faire un calcul mental a toujours été une torture).
On est en fin mars. À partir de cette nouvelle clé de lecture, mon année bascule dans une seule et même direction : valider ou invalider cette hypothèse.
Et comme je ne suis ni obsessionnelle ni monomaniaque, toutes mes réflexions et discussions n’ont pas du tout tourné autour de ça depuis…
Hypothèse 1 : un problème de mémoire de travail
Ma première hypothèse porte sur des problèmes de fonctions exécutives.
Une fonction exécutive est un processus cognitif qui permet de réguler volontairement les pensées, les émotions et les comportements pour atteindre un but ou s’adapter à une situation (comme planifier une tâche, résoudre un problème, gérer son temps ou contrôler une impulsion).
Ces fonctions incluent par exemple l’inhibition (freiner une réaction impulsive), la flexibilité cognitive (changer de stratégie lorsqu’une consigne évolue), la mémoire de travail (retenir et manipuler des informations), la planification (organiser des étapes pour atteindre un objectif) ou la régulation émotionnelle (garder son calme face à la frustration).
“En fait, je dois avoir une mémoire de travail éclatée au sol”.
Si ma mémoire de travail est limitée, ça veut dire que je ne peux pas manipuler beaucoup d’informations en même temps à un instant t, donc ça peut expliquer que je sature quand il y a trop d’informations entrantes. Ça se tient.
Donc il faudrait faire un bilan des fonctions exécutives (exemple : test de QI).
Hypothèse 2 : Autisme
À ce moment là je tombe “comme par hasard” sur une série d’articles de Nicolas Galita sur l’autisme (dont notamment un sur la sensorialité autistique, un sur la régulation autistique et un sur la sociabilité autistique). Et certains traits me parlent “légèrement”.
L’autisme me paraissait être quelque chose de suffisamment “handicapant” pour que je ne me dise pas “si ça se trouve je suis autiste” mais plutôt quelque chose comme “il y a des similarités certaines entre ce que je vis et certains traits autistiques”. Au sens “c’est impossible que je sois autiste, je fonctionne beaucoup trop bien pour ça”. Traits dont je découvrais totalement l’existence. Donc ça valait le coup de creuser.
Ce que j’ai fait.
Et j’ai découvert un monde.
Et donc, c’est quoi l’autisme ?
Pour moi, comme pour beaucoup, l’autisme c’était :
Sheldon dans The Big Bang Theory (ou Sherlock dans… Sherlock) : un génie tellement premier degré et sans empathie que ça en est comique, mais tellement intelligent qu’on lui pardonne.
Un petit garçon qui se balance d’avant en arrière en se tenant l’oreille, le regard dans le vide, et dont on perçoit la vie au travers du désespoir et l’épuisement de ses parents.
Que des mecs. Des stéréotypes poussés à l’extrême pour maximiser l’audience. Des traits autistiques toujours montrés au travers du regard des non autistes qui les entourent et jamais au travers du vécu même de la personne (présumée) autiste.
Il existe des centaines de livres plus ou moins scientifiques, plus ou moins militants, qui décrivent en détail les traits autistiques vécus de l’intérieur.
Pour rester concis et simple dans l’approche (même s’il y a débat sur comment sont présentés les traits), prenons comme référence le DMS-5.
Le DSM‑5 est un manuel publié par l’Association américaine de psychiatrie qui décrit et classe les troubles mentaux selon des critères diagnostiques précis. Avec la CIM‑11 (Classification internationale des maladies) de l’Organisation mondiale de la santé, il constitue l’une des deux principales références mondiales utilisées pour diagnostiquer les troubles mentaux.
Selon le DSM-5, pour être “diagnostiqué” autiste, il faut répondre : aux trois critères A, à deux des quatre critères B, et aux critères C, D et E suivants :
A. Déficits persistants de la communication et des interactions sociales.
Présents dans plusieurs contextes, manifestés par les trois éléments suivants :
A1. Déficits de la réciprocité socio-émotionnelle, allant par exemple d’une approche sociale anormale et d’un échec de la conversation bidirectionnelle normale ; à un partage réduit des intérêts, émotions ou affects ; à un échec d’initiation ou de réponse aux interactions sociales.
A2. Déficits des comportements de communication non verbale utilisés pour l’interaction sociale, allant par exemple d’une communication verbale et non verbale mal intégrée ; à des anomalies du contact visuel et du langage corporel ou des déficits dans la compréhension et l’utilisation des gestes ; à une absence totale d’expressions faciales et de communication non verbale.
A3. Déficits du développement, du maintien et de la compréhension des relations, allant par exemple de difficultés à ajuster le comportement en fonction de divers contextes sociaux ; à des difficultés à partager des jeux imaginatifs ou à se faire des amis ; à l’absence d’intérêt pour les pairs.
B. Comportements, intérêts ou activités restreints et répétitifs
Au moins deux des manifestations suivantes :
B1. Mouvements moteurs, utilisation d’objets ou langage stéréotypés ou répétitifs (par ex. stéréotypies motrices simples, alignement des jouets ou retournement d’objets, écholalie, phrases idiosyncrasiques).
B2. Insistance sur la similitude, adhérence inflexible à des routines ou à des patterns ritualisés de comportements verbaux ou non verbaux (par ex. détresse extrême provoquée par de petits changements, difficultés avec les transitions, patterns de pensée rigides, rituels de salutation, besoin de prendre le même chemin ou de manger les mêmes aliments chaque jour).
B3. Intérêts très restreints et fixes, anormaux dans leur intensité ou leur orientation (par ex. attachement fort ou préoccupation pour des objets inhabituels, intérêts excessivement circonscrits ou persévérants).
B4. Hyper- ou hyporéactivité aux stimulations sensorielles ou intérêt inhabituel pour les aspects sensoriels de l’environnement (par ex. indifférence apparente à la douleur/température, réaction négative à des sons ou textures spécifiques, odorat ou toucher excessif des objets, fascination visuelle pour les lumières ou les mouvements).
C. Symptômes présents dès la période de développement précoce
Même si certains signes peuvent ne devenir pleinement visibles qu’à l’âge où les exigences sociales excèdent les capacités adaptatives.
D. Altération cliniquement significative du fonctionnement
Les symptômes doivent causer une gêne notable dans la vie quotidienne, sociale, scolaire ou professionnelle.
E. Les symptômes ne sont pas mieux expliqués par un handicap intellectuel ou un retard global du développement
Cependant, ces troubles peuvent coexister ; le diagnostic de TSA n’est posé que si les difficultés sociales dépassent celles explicables par le niveau cognitif global.
Trois autres informations sur l’autisme :
On parle de troubles du spectre de l’autisme car l’autisme se présente complètement différemment pour chaque personne autiste suivant la combinaison des critères ci-dessus, la manière dont ils s’expriment et leur niveau d’impact dans la vie de la personne. Et ça ressemble rarement à la version Sheldon Cooper.
Pendant longtemps, on a cru que les femmes ne pouvaient pas être autistes. Comme dans d’autres domaines médicaux, les critères de diagnostic ont été élaborés à partir de profils masculins. En réalité, beaucoup de femmes autistes passent inaperçues parce qu’elles camouflent socialement leurs différences, s’adaptent et compensent au prix d’une grande fatigue mentale.
Ce camouflage social fait l’objet d’un travail approfondi passionnant de deux docteures en psychologie sociale françaises, elles-mêmes autistes, Julie Dachez et Adeline Lacroix. Elles montrent comment les femmes se sur-adaptent et comment cela conduit au sous-diagnostic ou au diagnostic tardif des femmes autistes, ce qui pose évidemment énormément de problèmes de santé pour ces femmes.Le terme “syndrome d’Asperger” n’est plus utilisé depuis 2013. Il désignait une forme d’autisme avec des capacités intellectuelles normales voire supérieures à la moyenne (qu’on appelait aussi “autisme de haut niveau”).
Toutes les formes d’autisme reposent sur les mêmes bases neurodéveloppementales donc la distinction ne fait pas vraiment sens. Même si cela fait débat, on classifie maintenant la “sévérité” de l’autisme en évaluant le niveau de support nécessaire à la personne pour “fonctionner” en société. Être à “haut niveau de fonctionnement” conduisant à nécessiter moins de support.
Par ailleurs, ce nom venait d’un psychiatre autrichien Hanz Asperger dont les recherches ont été ultérieurement liées à la politique eugéniste du régime nazi. En gros, il y avait d’un côté les bon autistes - dits Asperger - qui méritaient de vivre parce qu’ils pouvaient apporter quelque chose au régime, et de l’autre les mauvais autistes - qui eux étaient envoyés à la mort car on ne pouvait rien en faire. Donc juste, on oublie ce terme.
Et donc, suis-je autiste ?
Nicolas propose deux formations qui permettent de comprendre en détail, et depuis le vécu des personnes autistes, ce qui se cache derrière les traits autistiques. Vous en avez un méga résumé dans cet article : Le DSM reformulé pour les autistes. En avril, je suis la première formation. Je ne manifeste pas les versions les plus extrêmes de chacun de ces traits mais en creusant, tous me parlent à un certain niveau.
Par exemple : je peux être facilement perdue ou submergée quand je ne connais pas les codes d’une situation, j’ai un besoin de prévisibilité que j’ai du mal à réguler, je suis hypersensible au bruit, au toucher et à plein de “petites” choses dont vous n’avez pas idée d’à quel point ça peut prendre une place énorme dans mon quotidien (la soif, la faim, le froid, le chaud…).
J’arrive à fonctionner à peu près normalement mais les mécanismes de compensation mis en place pour y arriver sont parfois épuisants.
Et bien sûr, je me sens, comme probablement toutes les femmes - autistes ou pas, concernée par cette notion de camouflage social. C’est-à-dire je me conforme, je fais profil bas, j’évite de faire des vagues pour ne pas être discréditée et pour avoir la paix.
Bref, l’autisme, ça me parait un peu gros. Mais comme je suis dans une démarche d’exploration et que je n’arrive pas à la conclusion que c’est impossible, je laisse la possibilité ouverte dans un coin de ma tête. Qui plus est, plusieurs personnes d’horizons différents et à plusieurs moments de ma vie m’ont aussi évoqué - toujours en prenant des pincettes (les a priori étant forts) - que c’était une possibilité pour moi.
Le film Différente
En juin 2025 sort Différente. Film qui donne une représentation différente de l’autisme justement.
Une femme.
Qui travaille.
Qui ne sait pas qu’elle est autiste.
Qui réussit tant bien que mal à s’en sortir malgré ce handicap dont elle n’a pas conscience.
Et surtout dont les traits autistiques sont nuancés, montrés dans leur vécu quotidien et non tournés en ridicule (c’est plutôt la réaction de l’entourage qui est montrée dans toute sa violence).
Le film est tourné depuis le prisme de Katia. Et pas depuis ses pauvres proches qui sont obligés de l’assister ou depuis son entourage qui la tourne en dérision.
Je me suis reconnue dans tellement des petites expériences quotidiennes que j’ai pleuré pendant la quasi-totalité du film (quand une surprise de son copain la déstabilise plus qu’elle ne lui fait plaisir, quand elle rentre chez elle sans prévenir parce qu’elle voit que son copain n’est pas seul au bar et qu’elle n’a pas l’énergie de gérer l’interaction sociale, quand la sur-stimulation d’une soirée la fait exploser, quand son copain la tanne en déplaçant un coussin car il sait que ça la dérange, quand elle hésite à dire ce qu’elle pense vraiment quand on lui pose une question…).
Différente a été réalisé par Lola Doillon et est disponible depuis juillet en VOD. Julie Dachez, une des deux chercheuses autistes que je mentionnais plus tôt, a été consultante sur le film. Ceci a probablement grandement contribué à cette vision juste, réaliste et nuancée de l’autisme au féminin et de comment il peut être vécu.
Je vous recommande vivement ce film si le sujet de l’autisme vous intéresse ou si vous voulez un aperçu de comment un handicap invisible peut être vécu de l’intérieur.
Cet article commence à être long, je vais m’arrêter ici et garder mon hypothèse 3 (TDAH) pour le prochain article. J’y aborderai également le sujet du parcours diagnostic (une fois qu’on a ces hypothèses : on fait quoi ?) avant de vous partager celui que j’ai choisi et où j’en suis aujourd’hui.
J’espère que le sujet vous a intéressé. Si vous lisez cette phrase qui est la dernière de l’article, j’imagine que c’est un minimum le cas. Donc merci de m’avoir lue jusque-ici et à la semaine prochaine !
Pour aller plus loin vous pouvez :
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A bientôt les humains !
Carole


Merci de tes partages courageux Carole qui vont résonner pour de nombreuses femmes !